Les Indicateurs Physiologiques
Les débutants posent régulièrement des questions concernant les petits bobos ou autres conséquences dus à la pratique du PE. Ces désagréments font partie de ce que l’on appelle généralement “PI” ou Physiologic Indicators - traduit en bon français cela donne “Indicateurs Physiologiques”-.
Voici un excellent thread où sparkyx développe une théorie à ce sujet :
Physiologic Indicators (PIs) to help growth!
Comme je la trouve très crédible, je m’en suis très fortement inspiré pour ce nouveau sujet.
Les Indicateurs Physiologiques, sont des réponses de l’organisme au stress que l’on fait subir au pénis lors de la pratique du PE. Si les questions portent généralement sur des PIs plus ou moins fâcheux, il en existe d’autres qui ne le sont pas et qu’on peut même considérer comme plaisants.
On peut en fait classer ces indicateurs en trois catégories : les Indicateurs Négatifs, les Indicateurs Positifs et enfin les Indicateurs Neutres. Tous ceux qui ont un tant soit peu pratiqué des exercices d’Agrandissement du Pénis ont eu l’occasion d’en constater même s’ils ne savent pas toujours en tirer parti. Pourtant, les chances de succès en matière de gains peuvent être fortement influencées par la capacité que l’on aura à déchiffrer ces messages que le corps envoie.
Les indicateurs négatifs :
(Ils vous signalent que vous vous surentraînez et que vous devez réduire soit le niveau de tension que vous appliquez soit la durée de l’exercice)
- Douleur
- Diminution, voire disparition des érections nocturnes et matinales
- Erections moins puissantes
- Sensation d’engourdissement
- Coloration
- Réduction des dimensions
Les indicateurs positifs :
(Ils vous indiquent, au contraire que vous ne commettez pas d’excès et que vous êtes probablement sur la bonne voie)
.
- Aspect du pénis au repos plus imposant même longtemps après la fin des exercices
- Augmentation du nombre d’érections nocturnes et matinales
- Erections plus fortes
- Accroissement des dimensions
Les indicateurs neutres :
(Ils ne peuvent être interprétés qu’en fonction des éventuels indicateurs positifs ou négatifs qui les accompagnent ou apparaissent ensuite. Ils sont neutres parce qu’ils peuvent être considérés comme positifs ou comme négatifs selon les circonstances)
- Contraction temporaire du pénis après une séance de PE (l’effet “tortue”)
- Rougeur
- Points rouges
- Léger endolorissement
- Augmentation temporaire des dimensions
- Œdème superficiel
De tous les indicateurs physiologiques, ce sont évidemment l’augmentation ou la diminution des dimensions qui sont les éléments essentiels pour déterminer si le travail est efficace ou pas.
Pour que tout cela soit plus clair, prenons quelques exemples :
• Premier cas :
Imaginons un débutant qui pratiquerait la Routine de Base. Il constate rapidement que son pénis, après une séance, est plus épais, plus lourd, un peu rouge et se contracte au bout de quelques minutes. Il remarque un peu plus tard que ses érections nocturnes et matinales sont plus fortes que jamais. L’ensemble constitue un bon signe ; l’amélioration des érections fait que les indicateurs neutres qui l’accompagnent doivent être considérés comme étant positifs. Ce débutant aura donc tout intérêt à continuer avec la même routine et mesurer précisément son pénis au bout de deux semaines environ.
Si au bout de ce délai les indicateurs physiologiques sont toujours les mêmes et s’il n’a obtenu aucun gain, il pourra augmenter la durée des exercices. En effet, aucun PI n’indiquera qu’il y a surentraînement et cela signifiera que l’absence de gain est plutôt due à un sous-entraînement. Dans ce cas il lui serait profitable d’augmenter sensiblement le nombre de jelqs et/ou de stretches.
Cette nouvelle routine, notre débutant la pratiquera à nouveau pendant deux semaines en étant attentif à tout éventuel indicateur négatif. Au terme de ce délai, il mesurera une nouvelle fois. Imaginons que cette fois il ait obtenu des gains aussi minimes soient-ils. Il s’agit là du meilleur des indicateurs positifs. Il aura donc intérêt à continuer avec cette même routine jusqu’à ce que les gains cessent. Ce n’est qu’alors qu’il devra intensifier sa routine et continuer sur ce même principe.
• Deuxième cas
X vient de découvrir une technique de hanging dont on dit le plus grand bien. Il décide donc de l’essayer. La première chose qu’il remarque après sa séance, c’est qu’il est victime de l’effet “tortue”, son membre ayant tendance à se rétracter. Pas d’inquiétude à priori, il s’agit d’un indicateur neutre. Mais quelques temps après, il remarque que ses érections matinales et nocturnes ont disparu. Lorsqu’il mesure son pénis, il constate qu’il a perdu quelques mm en longueur. Ce dernier élément, essentiel, est un indicateur négatif qui lui indique qu’il y a surentraînement. L’effet “tortue”, conjugué à la diminution de la longueur et à la perte des érections nocturnes doit donc lui-même être considéré comme un indicateur négatif dans ce cas.
X sait désormais que la rétraction de son pénis immédiatement après sa séance était un signe annonciateur de surentraînement. Il arrête alors totalement tout exercice jusqu’à retrouver des érections nocturnes et matinales normales, ce qui lui prend près d’une semaine. Il s’agit d’un signe qui lui permet de comprendre qu’il a récupéré du traumatisme et qu’il est prêt à se remettre au travail.
X recommence mais cette fois en diminuant la charge. Il constate un léger retrait qui ne dure guère plus d’une demi-heure. Il trouve que ses érections nocturnes et matinales sont meilleures et lorsqu’il mesure au bout de deux semaines, il constate avoir gagné un peu. Il sait maintenant que la courte rétraction qu’il subit peut être alors considéré comme un indicateur positif et il s’en souviendra si jamais il décide de modifier sa routine.
• Dernier cas :
Y pratique le pumping depuis quelques temps. Et il obtient des résultats lents et réguliers. Ses érections nocturnes et matinales sont excellentes. Il a également constaté que son pénis au repos est désormais plus long et plus gonflé pendant les quelques heures qui suivent sa séance. Y est expérimenté. Il sait que ce sont des indicateurs positifs et qu’il est “dans les clous”. Il décide donc d’intensifier sa routine en utilisant sa pompe tout en pratiquant le clamping. Cette technique lui procure de grandes sensations et il constate que, pendant l’exercice, son pénis est plus imposant avec peu d’accumulation de lymphe. Il est tellement enthousiaste qu’un jour il en arrive à faire 5 séances.
Pourtant la nuit suivante, Y n’a pas eu d’érection nocturne ou matinale. Et puis son pénis lui semble rétracté. Une mesure au bout de quelques jours lui révèle qu’il a perdu quelques mm.
Ainsi, même si pendant la séance les dimensions de son pénis sont imposantes, les indicateurs négatifs qui suivent signalent à Y que cela est dû un traumatisme. Il a compris qu’un pénis extrêmement gonflé pendant la séance devra dans son cas être considéré comme un PI négatif. Y a pris une semaine de repos en attendant l’apparition des PI positifs que sont le retour des érections et un aspect normal de son pénis flaccide.
Y a repris sa routine avec sa nouvelle technique mais cette fois en limitant la durée de l’exercice à quelques minutes. Il surveillera consciencieusement ses indicateurs physiologiques et en tiendra compte pour la suite de son expérience.
Ces quelques exemples sont bien sûr un peu caricaturaux. Ce n’est pas, par exemple, parce que vous vous réveillez un matin sans érection qu’il faut nécessairement considérer cela comme un indicateur négatif. Ça arrive même si on ne pratique pas le PE et ça peut être dû à quantité de facteurs. C’est la répétition ou la constance du phénomène qui doit alerter.
C’est votre pénis qui aura le dernier mot concernant ce que vous lui faites subir. Apprenez à déchiffrer ses messages et vous accroîtrez vos chances de succès en en tenant compte.