Depuis 3 mois j’ai atteint un plateau. J’en ai fini de toute évidence avec les gains de débutants. Il me faut donc passer à la vitesse supérieure.
J’ai décidé de mettre en application une idée qui me trotte dans la tête depuis un moment. Je vais vous la soumettre ; j’aimerais avoir votre avis… quoi que je m’en foute un peu puisque j’ai commencé depuis 3 jours sans vous le demander:) .
Je travaille dans la plasturgie à la fabrication de film plastique… et j’ai trouvé une certaine analogie entre la matière plastique et les tissus organiques que l’on cherche à étirer.
Sans entrer dans les détails, voilà comment est fabriqué le film qui emballe le bout de viande que vous achetez dans votre supermarché : la matière chauffée est extrudée et passe dans une filière dont les lèvres sont écartées de o,8 mm. Le film obtenu est étiré puis figé par de l’air très froid. De cette façon, on obtient un film qui mesure 7/8 µ (le plus souvent) soit au minimum 100 fois plus fin que ce qu’il était au départ. Mais, si vous prenez un morceau du film obtenu et que vous le chauffiez, dans un four par exemple, vous constaterez qu’il va se rétracter et chercher à se rapprocher de l’épaisseur qu’il avait en sortie d’extrudeuse soit 0.8 mm. C’est ce qu’on appelle l’effet mémoire.
Vous voyez où je veux en venir ?
Si, comme je l’ai déjà lu, les différents tissus du pénis possèdent une mémoire, on peut extrapoler et imaginer que celle-ci est du même type que celle du PVC dont est fait le film dont je parle (toutes proportions gardées, bien sûr).
L’analogie s’arrête là bien sûr. Notamment parce qu’entre deux étirements au delà du seuil de plasticité, l’organisme répare et se prépare à une nouvelle agression en renforçant les tissus.
Donc, la routine que j’ai adoptée depuis 3 jours consiste d’abord à faire, sous IR, une séance de stretches intenses (je vise la longueur) puis à figer le pénis en position étirée par un “cooldown” sous un jet de douche froid. Bon ! c’est déjà ce que je faisais depuis un moment… mais sans résultat visible.
Là où j’ai innové c’est pour le reste du programme. En effet, jusqu’à présent, les jours “off” (que je plaçais un peu au feeling), je faisais des massages légers sous IR (j’ai lu quelque part que les IR accéléraient la cicatrisation et la régénération des tissus, donc je mettais en application). Seulement, si mon hypothèse est juste, le fait de chauffer les tissus devait entraîner leur retrait, ce qu’il faut éviter… et qui peut-être expliquerait l’absence de résultat.
Comme j’ai lu par ailleurs qu’après étirement les fibres de collagène mettaient plus de 24 H à se “réparer”, j’en ai déduit que faire 2 jours on de suite ne servait à rien.
Donc, au final, j’ai adopté la routine suivante :
Jour 1 : séance de stretches intenses (BTC stretches pour l’essentiel) sous IR, suivie d’un cooldown et, selon mes possibilités, port d’un ADS aussi longtemps que possible.
Jour 2 : repos total. Surtout pas d’IR.
Jour 3 : séance de jelqs pas trop poussés et de stretches modérés, le tout à froid. Cela me fait une rotation de 3 jours dont 1 seul vraiment “actif”. Je vais gagner du temps libre. En fonction des résultats et des sensations, je regrouperai peut-être les jours 1 & 2.
Bon, c’est pas vrai ; je n’en ai pas rien à foutre de votre avis.